Qui sommes-nous ?

Association oecuménique fondée en France en 1974, l’ACAT existe au Grand-Duché du Luxembourg depuis 1985. C’est une organisation non-gouvernementale, indépendante des églises et des partis politiques.

L’ACAT s’oppose à la peine de mort, intervient pour les victimes de la torture et veille dans son propre pays au respect des droits de l’homme, notamment des détenus et des demandeurs d’asile et réfugiés.

L’ACAT fonde son action sur l’article 5 de la Déclaration universelle des Droits de l’homme de l’ONU et les conventions qui en découlent, ainsi que sur l’évangile.

L’ACAT est membre de la Fédération internationale des ACAT (FIACAT) qui regroupe une trentaine d’ACAT à travers le monde et a statut consultatif auprès des Nations Unies et au COnseil de l’Europe, ainsi que le statut d’observateur auprès de la Commission Africaine des Droits de l’homme.

Statuts de l’ACAT-Luxembourg

Les statuts de l’ACAT-Luxembourg ont été modifiés en assemblée générale extraordinaire le 10 juin 2010 pour répondre aux normes légales afin d’obtenir l’agrément d’utilité publique.

Notre histoire

Créée au Luxembourg en 1985, l’ACAT a fêté en 2015 son 30ème anniversaire.

Pendant 30 ans, ses membres ont sensibilisé l’opinion publique luxembourgeoise au phénomène de la torture, mais aussi alerté les autorités luxembourgeoises aux problèmes qui se posent aussi chez nous, notamment dans les prisons et pour les demandeurs d’asile.
Pendant 30 ans, nous avons œuvré pour faire respecter le droit fondamental de l’homme au respect de sa dignité et de son intégrité.

Notre combat se poursuit, hélas : il n’est pas encore gagné…

Ensemble, chrétiens de toutes confessions, unissons-nous pour briser les murs de la solitude et faire renaître l’espérance !

Comment agir ?

Par l’information

Informer le public sur les exécutions capitales et sur la réalité de la torture, ses causes, ses buts, ses conséquences, c’est briser le silence qui entoure ces pratiques inadmissibles, encore trop courantes dans de nombreux pays, et rappeler aux Etats leurs engagements vis-à-vis du droit international.

Par l’action

Ecrire des lettres individuelles aux gouvernements, signer et faire signer des pétitions, participer à des campagnes de défense des droits humains, sensibiliser l’opinion publique par des conférences et des manifestations dans un unique but : Faire respecter la dignité de la personne.

Par la prière

Pour les victimes de la torture, pour les responsables de la torture, pour ceux qui luttent contre la torture.